Ceux qui ont lu l'article précédent se rappellent peut-être qu'il n'y a pas de clim dans notre logement. Eh bien on peut confirmer que c'était une énorme erreur tactique. Pour éviter le bruit de la rue et ne pas avoir de lumière on décide de dormir avec les fenêtres fermées. Mais la chambre se transforme en bouilloire géante et à 2h du matin Mathilde nous réveille en pleurs et trempée il doit faire 40°C dans la chambre. Quand je dis nous réveille, ce n'est pas tout à fait exact car Céline n'a pas réussi à s'endormir. On ouvre toutes les fenêtres, la pharmacie en face annonce 20°C à cette heure avancée de la nuit et cette relative fraîcheur nous permet enfin de tous nous rendormir.
Nous restons toute la journée à l’hôtel à profiter de la piscine. Julie est motivée pour apprendre à nager. Elle se jette dans l’eau sans ses brassards, je la récupère et ensuite elle essaie de rejoindre le mètre qui la sépare du borde en faisant la nage du petit chien. Mathilde elle, se met au bord de la piscine dit « deux », et se jette à l’eau. On la remonte et elle recommence.
Le soir, Céline repère sur internet un restaurant avec de bons avis situé à 9km. Comme le réseau mobile ne passe pas dans les montagnes, on prend depuis l’hôtel des photos avec le téléphone de l’écran de l’ordinateur montrant le plan et on part. On roule 5km avant de faire demi-tour et de trouver la bifurcation. Après une montée de 6km sur une toute petite route de montagne très étroite on arrive sur la place d’un village et on demande où se trouve le restaurant. Et là on nous dit qu’on s’est trompé de colline et qu’il faut redescendre. Bref on va mettre 53 minutes pour faire les 9km qui séparent notre hôtel du restaurant.
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