lundi 10 juillet 2023

Vols vers Quito - 09/07/2023

Réveil à 4h20 ! Ça pique très fort.

Notre vol décolle à 7h30 mais pour les longs courriers la recommandation est d’arriver 3h avant.
On se prépare en 10 minutes et on part à pied direction le terminal 1. À cette heure, il n’y a pas de navette, et il nous faut 20 minutes à pieds pour rejoindre notre terminal d’embarquement. On arrive à 4h52 devant le comptoir Iberia. Il y a une vingtaine de personnes devant nous et le comptoir est fermé.
Il ouvre à 5h et on enregistre assez vite nos bagages, on fait tous les contrôles, on déjeune et on embarque à l’heure.
Pour ce premier vol, c’est notre pauvre Juju qui est à l’honneur. Elle est côté de moi tandis que Mathilde est avec Céline dans la rangée derrière. 







Julie ne se sent pas très bien, elle est fatiguée, et après 30 minutes de vol ce qui devait arriver arriva : elle vomit !
Heureusement on avait récupéré une poche quelques minutes avant quand elle a commencé à se sentir mal.
Mais une fois son méfait accompli, elle s’est sentie mieux et soulagée.


On arrive à Madrid à 9h30, Julie est ravie de voir un magasin Victoria’s Secret et les filles font des essais de parfum.
Céline achète aussi un médicament contre le mal des transports qui ne se vend pas en France et qui lui a été recommandé.
Décollage à l’heure à 12h direction Quito.
L’avion est très long, 54 rangées, et très large aussi, 3 blocs de 3 places. C’est complet. Nous sommes à l’arrière, nous avons 3 places consécutives en rangée 51 (dont un hublot) et pour la quatrième c’est un autre hublot juste devant.


Céline prend la place seule devant nous, Mathilde côté hublot, Julie au milieu et moi côté couloir.
Il y a plein de films, de jeux en libre service qu’on peut visionner sur l’écran intégré au siège. Le vol est assez calme, quelques turbulences mais aucun trou d’air. Ça secoue un peu à l’atterrissage à Quito, mais c’est probablement dû au fait que c’est une ville de montagne situé à 2800 m d’altitude et quelle est encaissée dans les montagnes.

Il est 16h05 heure locale, 23h05 heure française quand nous arrivons.
Les paysages sont très beau, des montagnes verdoyantes. 


On passe les formalités douanières, j’achète une carte SIM locale, et on sort récupérer un taxi.
Je ne suis pas très rassuré dès le démarrage car il n’a pas l’air de savoir où est notre hôtel. Mais ça finalement, ce n’est pas très important, car il vaut mieux se perdre que de mourir …
C’est un fou furieux, il pousse les rapports à fond, se colle aux voitures devant nous, double par la gauche, par la droite, se faufile entre les voies.


Honnêtement je ne vois pas comment on aurait faire plus vite pour aller à notre hôtel. Il était à fond tout le temps. On a cru être avec le chauffeur du film "taxi".
Le pire c’est quand il fait ça tout en regardant son téléphone. Petit coup d’oeil à l’écran, petit coup d’oeil devant, coup de volant.
Bref un trajet très stressant mais rapide !
En nous déposant devant l’hôtel il me donne sa carte pour que je puisse l’appeler pour un prochain trajet. Pas sûr qu’on fasse encore appel à lui.
On a réservé deux chambres doubles. Mais en fait il y a 2 lits doubles dans chaque chambre, donc finalement on décide de dormir tous les quatre dans la même pièce.

On part dîner, il est dimanche 18h45 (heure locale) et pas grand chose d’ouvert dans notre quartier. Il fait plutôt frais, et la nuit tombe dès 19h.
On trouve un restaurant avec une jolie vue panoramique. Les filles sont proches de s’endormir en attendant nos plats.




On mange rapidement et on rentre se coucher, il est 19h45 (2h45 heure française).

2 commentaires:

Les Marguerittois a dit…

J'étais morte de rire en lisant ton commentaire sur votre viré en taxi.

Miguel nous l'avait dit que tu te fais doubler de tout les cotés et qu'ils

sont toujours à fond sur la pédale et le klaxon .

Quand il va à Quito il ne prend jamais sa voiture il prend le bus.

JNo a dit…

lol, cela me rappelle un taxi barcelonais, on pense plutôt aux italiens quand on parle de conduite sportive, mais les hispaniques & Co semblent avoir le pied lourd...
bref, vous êtes encore vivants, c'est en effet l'essentiel, et les vacances ont l'air de bien commencer alors bonne continuation dans l'attente de lire vos prochaines aventures!